Au terme de leur formation, les professionnels détiennent un savoir précieux qu’ils ont acquis grâce aux efforts déployés tout au long de leurs études. Une fois qu’ils ont acquis une pratique, certains poursuivent une carrière d’universitaire par l’entremise de laquelle ils transmettent les connaissances qu’ils ont reçues. Une partie de ces hommes et de ces femmes font preuve d’un esprit collectif et collaboratif, et mettent leur expertise au service des personnes et de la société.

Des professionnels s’efforcent d’humaniser leur profession et les services dispensés. Par exemple, ils s’adressent à une population qui a de faibles revenus et ils acceptent une rétribution moindre. Sensibles aux difficultés vécues par certaines personnes, d’autres orientent leur travail vers des populations marginalisées. Les cliniques populaires en médecine, en droit et en psychologie constituent des ressources privilégiées pour des groupes défavorisés ou marginalisés.

Certains universitaires choisissent de mener des recherches au bénéfice de la société. Dans une perspective de service aux collectivités, ils partagent leur savoir avec les populations et confrontent leur savoir théorique à la réalité du terrain. Au contact de la communauté, ils reconnaissent la valeur du savoir populaire.